La détection magnétique fonctionne par la mesure des variations du champ magnétique terrestre. La détection de véhicule repose sur un algorithme élaboré notamment au moyen de seuils de détection et de filtres passe bas passe haut.
Il est composé d’un lot de capteurs de rechange, d’une clé de force et d’un badge NFC permettant l’activation d’un capteur. Vous pourrez ainsi gérer en toute autonomie une simple intervention de maintenance corrective pour le remplacement d'un capteur en défaut.
Des erreurs de détection peuvent survenir en fonction de la position du véhicule. On parle alors de l’effet « balance à plateau ».
La masse métallique du véhicule se situe parfaitement au centre de la « bulle magnétique » du capteur. Ce dernier ne détecte pas la présence du véhicule, au même titre qu’une balance avec 1kg sur chaque plateau indique zéro.
Les capteurs sont donc installés de manière asymétrique, à environ 1m80 du fond de la place, pour éviter ce phénomène.
Des perturbations externes (conduite d’eau, métro, bus, tramway, voies ferrées, etc.) peuvent affecter temporairement la mesure réalisée par les capteurs. Les capteurs hybrides « magnétique nanoradar », que nous avons développés et brevetés, permettent d'annihiler ce phénomène par une technologie de détection complémentaire.
Oui, les 2 places seront indiquées comme étant occupées sur le logiciel et elles seront décomptées sur les afficheurs dynamiques associés.
Oui, ils sont généralement détectés si stationnés à proximité du capteur.
N’importe lequel. Nos concentrateurs sont équipés de cartes SIM M2M. Pour chaque site client à déployer, nous sélectionnons donc l’opérateur avec la meilleure couverture réseau du lieu à couvrir.
Oui le réseau mobile 3G/3G+ est fiable. Il est aujourd’hui le plus étendu de France avec une couverture de 90% du territoire. Ce réseau permet des débits de 2 à 42 Mb/s, avec un débit moyen théorique de 14,4 Mb/s.
Par ailleurs, les différents opérateurs indiquent une disponibilité du service mobile de l’ordre de 99,5% pour le réseau data.
Non, car notre architecture de communication est basée sur un réseau point à point.
Le concept de « communication machine à machine » est l'association des technologies de l'information et de la communication avec des objets dits intelligents et communicants, et cela dans le but de fournir à ces derniers les moyens d'interagir sans intervention humaine avec le système d'information.
Cette technologie fonctionne en utilisant des réseaux et plus particulièrement les réseaux mobiles publics (comme le GPRS ou l'UMTS), ou des liaisons sans fil à courte distance, comme le WiFi, le Bluetooth ou le RFID. Apparaît alors la notion d'appareils connectés sur une boucle locale, cette dernière étant connectée à un concentrateur de données qui fait office de passerelle vers les bases de données des gros serveurs centraux ou vers le cloud.
Les innovations en matière de Smart City et de Smart Grid sont essentiellement basées sur les technologies M2M.
Cette fréquence appartient aux ondes dites hyperfréquences.
Elle est plus robuste et plus pénétrante que le WiFi ou le Bluetooth (2,4 GHz), notamment face à l’eau, à la neige ou encore aux feuillus.
La consommation d’énergie est significativement plus faible qu’avec un réseau en maillage de type Mesh.
En effet, un capteur consomme uniquement de l’énergie pour la transmission de son changement d’état. Il ne s’occupe pas de l’état d’occupation du capteur voisin.
Par ailleurs, un capteur en défaut n’a aucune incidence sur les autres capteurs du réseau point à point.
L’installation de notre solution sans fil est rapide et nous permet de nous imbriquer aisément avec souplesse dans le respect d’un planning global avec une multitude d’acteurs.
L’enduit à froid sèche en seulement 30 minutes.
Métriques : Pose de 300 capteurs en 1 journée avec une équipe de 4 personnes
En 3 jours : 450 capteurs collés + Fixation de 20 totems solaires + Paramétrage & Mise en service
Nous recommandons l’enduit à froid de marquage routier « Plastiroc » de la marque AXIMUM.
Enduit non nocif pour les utilisateurs : formulation garantie sans pigment toxique
Produit développé à partir de formulations certifiées NF
Excellente résistance mécanique, y compris sous fort trafic
Résistance durable aux sollicitations intenses du trafic
Un système électrique de carottage de type TYROLIT avec une fraise à diamant est nécessaire. Une fois le carottage réalisé, le socle peut ensuite être scellé avec l’enduit à froid « Plastiroc ».
VRAI. L'un des problèmes majeurs causés par l'utilisation des énergies dites fossiles est l'émission de gaz à effet de serre (CO2). Plus le nombre d'installations photovoltaïques sera important, moins la France aura besoin de produire de l'électricité à partir de matières premières polluantes. Choisir de devenir un producteur d'énergie renouvelable est non seulement favorable à l'environnement mais aussi rentable !
FAUX. Il est souvent relayé dans la presse que la filière photovoltaïque est très récente en France et manque de recul pour assurer la qualité et la rentabilité des panneaux solaires. En réalité, les industriels français fabriquent des capteurs depuis 25 ans. Longtemps étudiée, la durée de vie des panneaux solaires peut aujourd'hui aller jusqu'à 35 ans et une filière de recyclage des panneaux solaires est aujourd'hui déjà opérationnelle.
FAUX. Les panneaux solaires sont nettoyés naturellement par la pluie et ne nécessite aucun entretien particulier. Dans les régions arides, il suffit simplement d'utiliser un tuyau d'arrosage pour rincer son installation. Un seul nettoyage annuel est nécessaire.
FAUX. Les centrales photovoltaïques fonctionnent en toutes saisons et en tous temps, dès qu'ils reçoivent de la lumière. Même si la production d'électricité est plus importante avec du soleil et une faible température, les panneaux solaires produisent aussi en cas de pluie ou de ciel nuageux.
FAUX. Les capteurs des panneaux solaires sont fabriqués en verre borosilicaté. Ce matériau ne chauffe pas et résiste à toutes sortes d'impacts ainsi qu'aux conditions météorologiques les plus rudes (grêle, orages, etc.). Les panneaux solaires sont donc prêts à endurer toutes sortes d'épreuves qui pourraient leur être infligés.
Les panneaux solaires distribués par SERELIO sont fabriqués en Allemagne et en Argentine depuis près de 25 ans. Ces panneaux offrent des performances de haute qualité.
Les panneaux solaires produisent une énergie renouvelable, respectueuse de l'environnement. Ils sont recyclables. L'énergie est produite au plus près des consommateurs, ce qui permet de limiter les consommations d'énergie liées à l'approvisionnement.
Quand ils produisent de l'énergie, les panneaux solaires n'émettent pas de dioxyde de carbone. Seule leur fabrication consomme de l'électricité.
D'après l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) et l'association Hepsul, il faut 3 ans à un panneau solaire pour compenser le dioxyde de carbone émis lors de sa fabrication.
La majorité des différents composants d'un panneau solaire peuvent aujourd'hui être recyclés. De par leur conception, les modules photovoltaïques sont recyclables à 85%. A ce jour, les premières générations de panneaux ne sont pas encore arrivées en fin de vie. Il faudra encore attendre une dizaine d'années. Des études sont en cours sur l'analyse de cycle de vie (ACV) pour tous les types d'installations photovoltaïques, et pour les systèmes solaires thermiques.
Arrivés en fin de vie, les panneaux peuvent être réutilisés pour la fabrication de nouveaux panneaux solaires. Le silicium, qui est le matériau de base des panneaux solaires, est recyclé pour construire de nouveaux panneaux. L'aluminium du cadre est refondu.
Le verre résultant du recyclage des modules solaires est réutilisé dans la fibre de verre, les produits d’isolation et les produits d’emballage en verre. Les métaux et matières plastiques sont réutilisés en tant que matières premières.
L’association PV Cycle, fondée en 2007, a mis en place une filière de recyclage des panneaux photovoltaïques. (http://france.pvcycle.org/)
Une installation photovoltaïque réunit les critères d'obtention du label HQE, car elle limite les pollutions générées par la consommation d'énergie et utilise des énergies renouvelables locales.
Les panneaux solaires répondent à la norme IEC. Cette certification est garante de qualité en matière de stabilité mécanique et de respect des paramètres électriques.
Pour répondre à cette norme, les panneaux ont subi des tests de projection de boules de glace (de 0,75 à 1,25 centimètres de diamètre) à une vitesse de 140 km/h. Ils sont protégés contre les intempéries type grêle ou neige.
Le photovoltaïque est une source d'énergie exploitable partout, puisque la quasi-totalité du monde profite d'un ensoleillement quotidien. Investir dans le photovoltaïque est donc intéressant financièrement et écologiquement. Le photovoltaïque est totalement modulable, et la taille des installations peut être facilement ajustée selon les besoins ou les moyens, tout simplement en jouant avec le nombre d'installations photovoltaïques.
Le photovoltaïque est une énergie renouvelable : aucun mouvement, pas de pollution directe ou indirecte, aucun déchet ni aucune perturbation pour l'environnement de proximité. De plus, les panneaux solaires n'émettent aucun rejet de CO2.
Les panneaux solaires photovoltaïques distribués par SERELIO sont garantis 20 ans et peuvent offrir une durée de vie de 30 ans.
La baisse du rendement des panneaux photovoltaïques est faible : les panneaux conservent 90% de leur puissance au bout de dix ans, et 80% au bout de vingt ans. La facilité de fonctionnement de ces panneaux et l'absence de pièces en mouvement limitent leur usure : la durée de vie moyenne est par conséquent très fiable. Le seul composant sensible sur un panneau photovoltaïque est l'onduleur, qui sert à transformer le courant continu produit par les panneaux en courant alternatif. Il a une durée de vie moyenne comprise entre 8 et 12 ans.
Pièce maîtresse du système, il est préférable d'utiliser un onduleur haute performance.
Depuis des années, de réels efforts sont entrepris par tous les acteurs liés à la production d'énergie photovoltaïque pour maximiser les possibilités de recyclage des panneaux solaires. Aujourd'hui, le recyclage est simple : la plupart des composants sont récupérés et recyclés après traitement thermique. Cette opération porte sur les matériaux facilement recyclables des panneaux solaires photovoltaïques (verres, métaux).
De nets progrès ont été réalisés ces dernières années pour récupérer et recycler les traces de silicium, de plomb et de cadmium. Les cellules photovoltaïques sont traitées chimiquement et soumises à un procédé de purification. Le silicium, le plomb et le cadmium ainsi récupérés sont ensuite réemployés dans la fabrication de nouvelles cellules photovoltaïques.
Les panneaux solaires n'attirent pas la foudre. Un onduleur sert à contrer les surtensions qui pourraient être dues à la foudre. Cependant, dans le cas où la foudre interviendrait, votre installation photovoltaïque pourrait être endommagée, voire détruite. Dans ce cas, les dommages seront pris en charge par votre assurance multirisque.